...En Bolivie, René Crespo Flores, chef du service politique au quotidien El Diario, s'avoue "très préoccupé" par la situation des Boliviens sans papiers en Europe. Il estime que les propos d'Evo Morales contre ce texte ne sont qu'une "simple annonce" et que la Bolivie sait que l'UE ne fera pas machine arrière. Mais le gouvernement espère que les mesures ne seront pas aussi radicales que prévu. Même dénonciation en Argentine, où Mercedes Merono, de l'association des Mères de la place de mai, juge la directive européenne "barbare, terrible, injuste et xénophobe"...
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