jeudi 6 avril 2006

OSAR-suggestions concernant la loi sur l’usage de la contrainte

OSAR-suggestions concernant la loi sur l’usage de la contrainte

Das Volk hat das letzte Wort

Das Volk hat das letzte Wort�(Schweiz, NZZ Online)

La NZZ est le premier journal papier du pays a annoncer le dépôt des référendums

Débat sur Forums: référendum contre la loi sur l'asile et les étrangers


Les référendums contre les nouvelles lois sur l'asile et sur les étrangers ont récolté 164'000 signatures et ont été déposés à Berne. Les deux modifications de loi sont principalement combattues par la gauche, mais certains membres des partis bourgeois s'affichent ouvertement contre les durcissements introduits dans les deux textes.
Débat entre Yvan Perrin, conseiller national UDC neuchâtelois, et Claude Ruey, conseiller national vaudois et président du Parti libéral suisse.
Claude Ruey y relève tous les mensonges et les amalgames de l'UDC.

Ecoutez ce débat sur la Première

Regardez la séquence du TJ soir

Regardez l'entretion accordé à Darius Rochebin par Ruth Dreifuss lors du journal télévisé Darius Rochebin y démontre un art consommé pour reprendre les pires préjugés xénophobes agités par l'UDC

Bâle, soutien à la famille Martinez



La famille Martinez est originaire de l'Ecuateur et vit avec ses 4 filles entre 7 et 15 ans dans le canton de Bâle-Ville sans statut légal. Les parents ont grandi dans la misère des quartiers les plus pauvres de Quito. Quand la dernière fille est née, il ne restait plus d'autre solution que l'émigration. La famille s'est trouvée dans une situation d'urgence réelle. Les parents ont trouvé du travail à Bâle et un peu de stabilité. Trois ans plus tard, ils ont fait venir leurs filles. Pour elles, la situation était devenue impossible en Ecuateur en raison de la séparation et du père biologique des deux filles aînées qui les menacait de plus en plus. Elles vivaient avec une angoisse permanente et grandissante.

Depuis trois ans, les filles fréquentent l'école publique à Bâle. Madame Martinez était contrôlée en décembre 2005 par la police lorsqu'elle rentrait du travail comme femme de ménage. Une demande de permis humanitaire était déposée. Une fois de plus, la police des étrangers de Bâle-Ville prend une décision négative et la famille aurait du se présenter aujourd'hui au contrôle des habitants pour discuter la date de sortie du pays.
La famille a décidé de sortir de l'ombre et de lutter pour un statut légal en Suisse lui permettant de vivre normal. La famille n'a plus rien à perdre. Un "Komitee Pro Familie Martinez" a été créé et l'église catolique de Bâle offre à la famille un refuge. Aujourd'hui, lors d'une conférence de presse, le grand public a été informé.
La protéction de la famille passe (à part la protection symbolique de l'église) par une mobilisation maximal de la société civil. Nous avons donc besoin du soutien d'un nombre maximal d'individus, mais également la prise de position d'organisation en faveur de la famille. Merci de faire circuler cet e-mail! En même temps nous vous informons que demain, une réunion ouverte à toutes personnes interessées aura lieu:

Assemblée: Vendredi, 7.4.06, 17:30h, Kirchgemeinde St.Anton, Sigristensaal,Kannenfeldstrasse 35 (cour interieure), Bâle


Vous pouvez envoyez des message de soutien à martinezbleiben@gmx.ch ou bien
par courrier: Familie Martinez, c/o Jan Bernadic, Kannenfeldstrasse 35,
Postfach 138, 4012 Basel

Pierre-Alain Niklaus
www.sans-papiers-basel.ch

Pour le droit des étrangers et des réfugiés


Lire cet éclairage de swissinfo

Les référendums sont déposés


Lire la dépêche de l'agence AP

Lire le dossier de la Première

Lire la dépêche de l'ATS sur le site de la TSR

Ecoutez la séquence radio diffusée sur la Première avec Ruth Dreifuss

Voir la séquence du Journal de midi avec l'interview de Ruth Dreifuss

L'appel aux urnes

Lire l'article de Valérie de Graffenried dans le Temps

François Couchepin dans le Temps "Il faut lutter contre l'anesthésie des consciences"

Lire l'article de Sylvie Arsever dans le Temps

Communiqué de presse du Carrefour NEM et de la Plate-Forme Asile Migration,