lundi 22 mars 2010

Débat public sur le thème de l'apprentissage des sans-papiers

Décision de la Municipalité de Lausanne
d'offrir une formation professionnelle
au sein de l'administration communale
aux jeunes sans-papiers

Lundi 22 mars à 18h00
Brasserie Restaurant Le Vaudois
Salle Ruchonnet - Druey (entrée à l'intérieur du restaurant)
Pl. de la Riponne 1, Lausanne

Entrée libre

Cette conférence-débat comptera avec la participation de

M. Oscar TOSATO, conseiller municipal socialiste et directeur de la direction de l'enfance, jeunesse et éducation (DEJE). Il présentera les tenants et aboutissants du projet validé par la Municipalité de Lausanne.
M. Guy GAUDARD, installateur électricien diplômé, entrepreneur et maître d'apprentissage, conseiller communal de LausanneEnsemble
Mme Beatriz ROSENDE , secrétaire centrale SSP, co-responsable de la campagne Aucun enfant n'est illégal dans le canton de Vaud.
M. Aristides PEDRAZA, enseignant dans la formation professionnelle à Lausanne et dirigeant syndical SUD.
La fin de la séance est prévue à 20h00

La décision de la Municipalité de Lausanne fait suite à la motion de M. Alain Hubler, conseiller communal de la formation A Gauche Toute, intitulée Une formation professionnelle pour les sans papiers déposée au mois de novembre 2002.


Observateurs pour les renvois

observateurs renvois

24 Heures

renvoi observé txtTeletext

Loi sur l’asile: réforme mal accueillie

LASI réforme txt

Une information trouvée sur le site teletext.ch

“Nous ne nous attendions pas à un tel traitement de la part de la Suisse !”

Lors de leur visite hebdomadaire au centre de détention administrative de Frambois, les visiteurs de prisons de la Ligue Suisse des Droits de l’Homme – section Genève (LSDH) ont pu recueillir les témoignages de Messieurs Emmanuel Ogolo et Julius Douglas, le lendemain de la tentative d’expulsion par vol spécial de Zurich vers le Nigeria dont ils ont fait l’objet et le tragique décès d’un leur compatriote.

Au-delà de la tristesse suite à ce décès et l’état de choc dans lequel ils se trouvent, ils ont exprimé leur déception et leur colère face au traitement dégradant et inhumain qui leur a été infligé : « nous ne nous attendions pas un tel traitement de la part de la Suisse ! Et tout ça, pour des questions administratives !» répètent-ils à plusieurs reprises lors de l’entretien. Ils ajoutent « un tel traitement est une insulte pour ce pays ». Les comparaisons utilisées par Messieurs Ogolo et Douglas parlent d’elles-mêmes : «nous avons été traités comme des marchandises, pire que des animaux… une vague impression d’esclavagisme ! »

Lire la suite du communiqué de presse de la LSDH (Ligue suisse des droits de l’Homme) sur le blog de Makaila ou sur le site de la LSDH