mercredi 8 octobre 2008

La langue locale comme critère d'intégration

«La Suisse sera multilingue ou elle ne sera pas.» Cette idée ne passe pas seulement par l'enseignement de langues étrangères et de la langue locale à des immigrés non qualifiés, mais aussi et surtout par l'application du critère de la maîtrise de la langue locale aux migrants d'élite.

Lire la suite de cet éclairage de Georges Lüdi, Professeur à l'Université de Bâle
Mercredi 8 octobre 2008 dans le Temps

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Savoir l'anglais, ce n'est certainement pas une mauvaise idée. Mais aussi longtemps que la Suisse ne déclare pas l'anglais comme langue nationale, il n'y a aucune raison de ne pas forcé tout immigrant à apprendre la langue locale jusqu'au même niveau qui est estimé étant égale ou superieur a celui d'un 'indigène'. Chaque étranger qui ne veut pas s'intègrer, aussi en apprenant la langue locale, doit réflechir à sa place dans notre, ou plutôt, hors de notre pays.

Si quelq'un se plaint que l'allemand ou le français sont diffice à apprendre - c'est leur problème, pas le notre. Au Japon, si on veut garder so permis de travail, il faut apprendre le Japonais correctement dans un delai de trois ans. La Suisse ferait bien d'implementer des mesures similaires.