Toujours dans la rubrique Réflexions de 24 Heures, Claude-Alain Voiblet, président du groupe UDC du conseil communal de Lausanne, nous livre les siennes sur le sujet délicat de la mendicité: «Qualifier de raciste, de xénophobe, de nazi l’UDC lausannois qui demande de freiner la mendicité ou le socialiste bâlois, bernois, genevois qui expulse sans ménagement les mendiants?»
Pour ouvrir un débat sur la mendicité, mieux vaut être socialiste à Bâle, à Berne ou à Genève qu’UDC à Lausanne… Lors des dernières séances du Conseil communal de Lausanne, l’UDC s’est inquiétée de la situation qui pourrait naître, suite aux mesures énergiques de police, de santé publique et sociale que viennent de prendre les autorités exécutives, à large majorité de gauche, des principales villes de notre pays. En effet comme pour nos voisins européens, l’ouverture des frontières à certains pays de l’Est a généré une croissance de la mendicité dans les rues des grandes villes. Après avoir testé sans aucun succès une nouvelle conception de l’aide humanitaire au travers d’une tolérance et d’un laisseraller total dans l’application des règlements communaux, nos principaux voisins se sont enfin résignés à prendre des mesures énergiques afin de mettre un terme à la mendicité croissante. Dans notre ville de Lausanne, le débat a pris une tout autre direction. En résumé selon les socialistes et les popistes, circulez il n’y a rien à voir. En effet la forte majorité rouge à la tête de notre ville n’a pas souhaité débattre cette situation qui anime pourtant les discussions politiques à Berne ou à Genève. A la demande de l’UDC de prendre en mains ce problème, de discuter de la situation, de connaître l’évolution de la mendicité dans la capitale vaudoise et de se prémunir de l’exploitation de personnes, forcées à la mendicité, dans des réseaux, la réponse de la gauche fut cinglante: il n’y a aucun problème, les représentants de l’UDC ne sont que des racistes et des nazis, qui stigmatisent les habitants de la ville… Devant le Conseil communal, certains représentants de gauche, aiguillés par des pensées anarchistes, n’ont pas hésité à mélanger savamment aide humanitaire et application stricte par nos autorités des règles fondamentales découlant l’application de nos lois. En effet même si la mendicité n’est plus réprimée, il est important de rappeler que la loi sur le séjour et l’établissement des étrangers permet le renvoi des personnes qui ne disposent pas des moyens nécessaires à assurer leurs frais de séjour, soit un logement et des conditions de vie acceptables. Aujourd’hui force est de constater que ces conditions minimales ne sont pas remplies et que nos autorités ferment les yeux.
Suite aux derniers débats du Conseil communal, les paris sont ouverts. Une fois les fêtes de fin d’année passées dans leur pays, une partie des mendiants genevois pourraient faire le voyage à Lausanne. Ils auraient d’ailleurs tort de ne pas répondre à l’incroyable invitation faite par certains politiciens gauchistes de notre ville désireux de les accueillir à bras ouverts… Reste finalement une question: qui doit-on effectivement qualifier de raciste, de xénophobe ou de nazi? Un UDC lausannois qui demande à la Municipalité de prendre des mesures concrètes pour contrôler et freiner la mendicité au coeur de Lausanne ou alors un socialiste bâlois, bernois ou genevois qui expulse sans aucun ménagement les mendiants. Libre à vous de juger!
Pour ouvrir un débat sur la mendicité, mieux vaut être socialiste à Bâle, à Berne ou à Genève qu’UDC à Lausanne… Lors des dernières séances du Conseil communal de Lausanne, l’UDC s’est inquiétée de la situation qui pourrait naître, suite aux mesures énergiques de police, de santé publique et sociale que viennent de prendre les autorités exécutives, à large majorité de gauche, des principales villes de notre pays. En effet comme pour nos voisins européens, l’ouverture des frontières à certains pays de l’Est a généré une croissance de la mendicité dans les rues des grandes villes. Après avoir testé sans aucun succès une nouvelle conception de l’aide humanitaire au travers d’une tolérance et d’un laisseraller total dans l’application des règlements communaux, nos principaux voisins se sont enfin résignés à prendre des mesures énergiques afin de mettre un terme à la mendicité croissante. Dans notre ville de Lausanne, le débat a pris une tout autre direction. En résumé selon les socialistes et les popistes, circulez il n’y a rien à voir. En effet la forte majorité rouge à la tête de notre ville n’a pas souhaité débattre cette situation qui anime pourtant les discussions politiques à Berne ou à Genève. A la demande de l’UDC de prendre en mains ce problème, de discuter de la situation, de connaître l’évolution de la mendicité dans la capitale vaudoise et de se prémunir de l’exploitation de personnes, forcées à la mendicité, dans des réseaux, la réponse de la gauche fut cinglante: il n’y a aucun problème, les représentants de l’UDC ne sont que des racistes et des nazis, qui stigmatisent les habitants de la ville… Devant le Conseil communal, certains représentants de gauche, aiguillés par des pensées anarchistes, n’ont pas hésité à mélanger savamment aide humanitaire et application stricte par nos autorités des règles fondamentales découlant l’application de nos lois. En effet même si la mendicité n’est plus réprimée, il est important de rappeler que la loi sur le séjour et l’établissement des étrangers permet le renvoi des personnes qui ne disposent pas des moyens nécessaires à assurer leurs frais de séjour, soit un logement et des conditions de vie acceptables. Aujourd’hui force est de constater que ces conditions minimales ne sont pas remplies et que nos autorités ferment les yeux.
Suite aux derniers débats du Conseil communal, les paris sont ouverts. Une fois les fêtes de fin d’année passées dans leur pays, une partie des mendiants genevois pourraient faire le voyage à Lausanne. Ils auraient d’ailleurs tort de ne pas répondre à l’incroyable invitation faite par certains politiciens gauchistes de notre ville désireux de les accueillir à bras ouverts… Reste finalement une question: qui doit-on effectivement qualifier de raciste, de xénophobe ou de nazi? Un UDC lausannois qui demande à la Municipalité de prendre des mesures concrètes pour contrôler et freiner la mendicité au coeur de Lausanne ou alors un socialiste bâlois, bernois ou genevois qui expulse sans aucun ménagement les mendiants. Libre à vous de juger!
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