Lire cet article du correspondant du Temps en Italie, Eric Joszef
«C'est sûr, un matin la police italienne viendra nous déloger.» A l'entrée du camp de nomades de Ponte Mammolo, le long de la via Tiburtina, dans la banlieue de Rome, la communauté rom est sur le qui-vive. Méfiante, préoccupée. Depuis le sauvage assassinat le 30 octobre dernier d'une Italienne par un jeune Roumain à proximité d'un autre bidonville de la capitale, une vague de xénophobie a submergé le pays et les autorités ont pris des mesures radicales pour expulser les délinquants présumés.
En Suisse, la visite du président Roumain Bajescu a également été le prétexte pour parler de la situation des roms, lire l'article de Valérie de Graffenried
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