Des émeutes après des meetings politiques, un ministre qui suscite autant de passions que de haine à chacune de ses apparitions publiques, des reporters du monde entier qui débarquent dans le pays pour couvrir une campagne électorale qui dérape, estomaqués de découvrir qu’on se bagarre dans les rues au pays tranquille des edelweiss et des banques discrètes : jamais la Suisse n’avait connu pareille poussée de fièvre électorale.
Lire la suite de cet article de Serge Enderlin pour Libération
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