Les comptes rendus négatifs comme ceux du New York Times ne doivent pas être sous-estimés, avertit l'ancien conseiller fédéral dans une interview parue hier dans l'hebdomadaire Sonntag. Ils sont lus dans les organisations internationales et dans les étages dirigeants des grandes entreprises. Et les leaders d'opinion de penser: «La Suisse était pourtant un pays où l'ordre régnait.»
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