Suite de l'article consacré par 24 Heures au tournage de Fernand Melgar au CEP de Vallorbe.
«Ma première réaction a été: voilà encore quelque chose qui nous tombe dessus. Mais, dès le premier contact avec Fernand Melgar, un climat de confiance s’est installé. Maintenant, je pense que l’approche de la réalité de notre quotidien de façon globale est une bonne chose. Ma méfiance a cédé la place à une légère anxiété, car je ne sais pas ce que la démarche va donner à l’écran. Je me réjouis de voir le produit finis.», commente Philippe Hengy, directeur du CEP.
Ce dernier souligne encore qu’il a beaucoup apprécié le professionnalisme du cinéaste, lors de la préparation du sujet avec les employés du centre.
«Ce documentaire permettra de démystifier le site dans la population, car beaucoup d’inexactitudes, pour ne pas dire autre chose, circulent à son sujet. De plus, ce qui se vit ici peut également se rapporter aux autres centres de Suisse», argumente encore le directeur.
Le pasteur Pierre-Olivier Heller compare volontiers Fernand Melgar au photographe Marcel Imsand qui passe beaucoup de temps avec les gens avant de les fixer sur la pellicule. «Filmer le quotidien du centre avec ses ombres et ses lumières est une bonne initiative. Je suis heureux de partager le local de l’aumônerie avec l’équipe de tournage».
«Ma première réaction a été: voilà encore quelque chose qui nous tombe dessus. Mais, dès le premier contact avec Fernand Melgar, un climat de confiance s’est installé. Maintenant, je pense que l’approche de la réalité de notre quotidien de façon globale est une bonne chose. Ma méfiance a cédé la place à une légère anxiété, car je ne sais pas ce que la démarche va donner à l’écran. Je me réjouis de voir le produit finis.», commente Philippe Hengy, directeur du CEP.
Ce dernier souligne encore qu’il a beaucoup apprécié le professionnalisme du cinéaste, lors de la préparation du sujet avec les employés du centre.
«Ce documentaire permettra de démystifier le site dans la population, car beaucoup d’inexactitudes, pour ne pas dire autre chose, circulent à son sujet. De plus, ce qui se vit ici peut également se rapporter aux autres centres de Suisse», argumente encore le directeur.
Le pasteur Pierre-Olivier Heller compare volontiers Fernand Melgar au photographe Marcel Imsand qui passe beaucoup de temps avec les gens avant de les fixer sur la pellicule. «Filmer le quotidien du centre avec ses ombres et ses lumières est une bonne initiative. Je suis heureux de partager le local de l’aumônerie avec l’équipe de tournage».
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