Antonio Hodgers: "Il y a 25 ans, j'étais un sans-papier!"
Vous allez prêter serment le 3 décembre à Berne. En dix ans, vous êtes passé des Noctambus, à Genève, aux portes de la commission des transports, dont vous rêvez. C'est un beau parcours, non?
Et il y a vingt-cinq ans, j'étais encore requérant d'asile et sans papiers, puisque ma mère a fui la dictature en Argentine. J'étais donc comme ceux que l'on parque aujourd'hui dans des baraques. J'insiste là-dessus parce qu'avec les lois de Blocher en vigueur, on n'entre plus en matière pour les requérants sans papiers. Maintenant, mon parcours a-t-il été rapide? Je ne sais pas. Disons qu'il reflète la capacité d'intégration de la Suisse. C'est pour ça que j'aime ce pays.
Lire l'intégralité de l'interview qu'Antonio Hodgers a accordée au Matin Dimanche
Et il y a vingt-cinq ans, j'étais encore requérant d'asile et sans papiers, puisque ma mère a fui la dictature en Argentine. J'étais donc comme ceux que l'on parque aujourd'hui dans des baraques. J'insiste là-dessus parce qu'avec les lois de Blocher en vigueur, on n'entre plus en matière pour les requérants sans papiers. Maintenant, mon parcours a-t-il été rapide? Je ne sais pas. Disons qu'il reflète la capacité d'intégration de la Suisse. C'est pour ça que j'aime ce pays.
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