vendredi 20 juillet 2007

Espoir pour les migrantes victimes de leur mari

La nouvelle loi sur les étrangers, qui entrera en vigueur en 2008, devrait permettre d’accorder davantage d’autorisations de séjour aux victimes de violences domestiques. Saint-Gall a déjà assoupli sa pratique. Qu’en est-il de Genève et de Vaud?




DOUBLE DISCRIMINATION
L’autorisation de séjour d’une femme migrante qui se sépare de son mari
après moins de trois ans de mariage est soumise à une «intégration réussie»,
mais on sait aussi que les femmes violentées par leurs conjoints
ne parviennent précisément pas à s’intégrer correctement.

Elles sont deux fois victimes. Battues par leur conjoint, puis renvoyées dans leur pays d’origine si elles le dénoncent à la police. Certaines femmes étrangères, qui doivent leur séjour en Suisse au regroupement familial, se retrouvent dans une situation dramatique. Actuellement, lorsque leur union dure depuis moins de cinq ans et qu’elles y mettent un terme, le canton dans lequel elles résident doit les expulser.

Lire la suite de cet article sur le site de 24Heures

Aucun commentaire: