L’initiative «Pour que Bex retrouve sa sérénité» n’est plus. Mais l’UDC a obtenu que des «négociations sérieuses» soient menées avec le canton pour trouver une nouvelle affectation au centre de requérants.
L’avenir des locaux pour requérants d’asile de la Fareas de Bex a valu, comme prévu, quelques discussions lors du Conseil communal de Bex mercredi soir. Chaque partie a campé sur ses positions ( 24 heures de mardi) et le résultat final est conforme aux attentes: l’initiative UDC demandant le rachat du bâtiment au canton (appuyée par votation populaire en fin d’année dernière) a été abandonnée. Le Conseil d’Etat a en effet signifié à plusieurs reprises ne pas vouloir entrer en matière.
Les accusations de l’UDC, qui considère les efforts entrepris par la Municipalité pour convaincre le canton comme ayant été insuffisants, n’ont pas poussé une majorité du Conseil communal à relancer le processus (plus des deux tiers de l’assemblée ont voté pour l’abandon). «Nous sommes arrivés au terme du processus démocratique », a pour sa part lancé le syndic Michel Flückiger.
Comme elle l’avait annoncé, l’UDC n’en est pas restée là. Par le dépôt d’une motion, le groupe a obtenu que la Municipalité entreprenne «des négociations sérieuses» pour trouver un terrain d’entente avec l’Etat sur une nouvelle affectation de ces locaux.
Le texte a recueilli le nombre de voix nécessaires pour être validé. Une commission sera nommée pour plancher sur la question.
Un article paru dans 24 Heures.
L’avenir des locaux pour requérants d’asile de la Fareas de Bex a valu, comme prévu, quelques discussions lors du Conseil communal de Bex mercredi soir. Chaque partie a campé sur ses positions ( 24 heures de mardi) et le résultat final est conforme aux attentes: l’initiative UDC demandant le rachat du bâtiment au canton (appuyée par votation populaire en fin d’année dernière) a été abandonnée. Le Conseil d’Etat a en effet signifié à plusieurs reprises ne pas vouloir entrer en matière.
Les accusations de l’UDC, qui considère les efforts entrepris par la Municipalité pour convaincre le canton comme ayant été insuffisants, n’ont pas poussé une majorité du Conseil communal à relancer le processus (plus des deux tiers de l’assemblée ont voté pour l’abandon). «Nous sommes arrivés au terme du processus démocratique », a pour sa part lancé le syndic Michel Flückiger.
Comme elle l’avait annoncé, l’UDC n’en est pas restée là. Par le dépôt d’une motion, le groupe a obtenu que la Municipalité entreprenne «des négociations sérieuses» pour trouver un terrain d’entente avec l’Etat sur une nouvelle affectation de ces locaux.
Le texte a recueilli le nombre de voix nécessaires pour être validé. Une commission sera nommée pour plancher sur la question.
Un article paru dans 24 Heures.
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