Lire l'édito du Temps qui constate que l'UDC Suisse ne recule devant rien (y compris les menaces) pour sauver la tête de son chef de bande.
Dans l'article le temps de la violence, DS Miéville souligne que pour sortir Blocher du pétrin dans lequel ses manigances l'on mis, les huiles zurichoises de l'UDC n'hésitent pas à trainer nos institutions dans la boue et à se livrer à des attaques personnelles d'une violence inouïe. Les autres partis (en particulier PDC et radicaux) avaient largement sous-estimé le potentiel de haine que l'UDC zurichoise est prête à mettre en oeuvre.
Sylvie Arsever , elle s'interroge sur la faiblesse de la résistance à ces derives haineuses et fascistoïdes.
Enfin dans un interview accordé à Valérie de Graffenried, Christophe Darbelley affirme que notre démocratie est en danger.
Dans les pages régionales, Denis Masmejan s'est penché sur le rapport de la commission de gestion et lui aussi conclu à l'implication de Christoph Blocher dans des manoeuvres "extraodinaires" pour faire pression sur Roschacher. Par exemple des rencontres au château de Blocher avec le président du tribunal fédéral pénal pour mettre au point des attaques concertées contre le procureur. Si c'est pas un complot, ça y ressemble.
Enfin Laurent Gaspary relaie le malaise des radicaux vaudois en particulier la demande d'Yves Guisan de se distancer de cet allié infréquentable.
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