A trois mois des élections fédérales, les partis politiques y vont tous de leur recette contre la violence des jeunes et le sentiment d'insécurité.
Au risque de diviser ses propres rangs, le Parti socialiste pénètre sur un terrain jusqu'ici occupé surtout par la droite dure de l'UDC.
«Les politiciens, tous partis confondus, commencent par dire qu'on n'a pas de chiffres fiables mais continuent en assénant des vérités sur l'augmentation de la violence des jeunes, et surtout des étrangers», constate le président de la Commission fédérale de la jeunesse, Pierre Maudet.
Il faudra attendre 2009 pour disposer d'un fichier national de la criminalité - et aussi de la criminalité étrangère. Et donc pour savoir si la violence augmente au niveau quantitatif.
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