Lire l'article de Didier Estoppey dans Le CourrierChronique d'une haine pas encore ordinaire
On les entend déjà crier au martyre. Tous ces braves gens qui jugeront disproportionnée la peine écopée par un garagiste de Bex pour avoir répandu sa haine sur les murs de son village. Un gars bien de chez nous, dont le seul tort est d'être allé un peu loin dans l'expression de son ras-le-bol envers les requérants d'asile et les dealers noirs envahissant son village. Diantre, on n'aurait donc même plus le droit de s'exprimer chez soi?
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