Lire l'intégralité de cet éditorial du Courrier à l'occasion de la journée du réfugié.
Extraits (et conclusion)
Le mensonge tient désormais lieu de raison d'Etat, comme le montre l'exemple du canton de Vaud, dont le gouvernement n'hésite pas à mettre en doute un certificat de la Croix-Rouge pour justifier le renvoi d'un rescapé des camps à Srebrenica. De façon symptomatique, l'homme plutôt pondéré qu'est l'historien Jean-François Bergier vient nous rappeler à quel point la situation actuelle lui rappelle la politique suisse à l'égard des réfugiés du nazisme. La Suisse est en train de vivre des pages très sombres de son histoire. Mais il reste temps de se réveiller. Ce samedi, les vrais patriotes, ceux pour lesquels nos valeurs communes ont encore un sens, seront dans les rues de Berne. En force.
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