Supprimer les demandes d’asile dans les ambassades ou encore faciliter le renvoi des délinquants étrangers. Un article de Valérie de Graffenried dans le Temps.
Le dernier tour de vis remonte à septembre 2006. Le peuple a alors pour la huitième fois en vingt ans donné son soutien à la politique d’asile fédérale. En adoptant la nouvelle loi sur les étrangers et la révision de la loi sur l’asile avec environ 68% de oui. Ces lois sont entrées en vigueur au 1er janvier 2008. Depuis 1987, le peuple a approuvé cinq durcissements successifs de la législation, mais rejeté trois initiatives populaires, elles aussi restrictives.
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