Le chef de l’Etat Giorgio Napolitano a émis des réserves. Une grande partie de l’opposition de gauche s’est inquiétée d’une dérive sécuritaire. Même le président (Alliance nationale) de la Chambre des députés, Gianfranco Fini, a fait part de ses doutes mettant au passage en garde sur les risques de faire un amalgame entre délinquance et immigration. Malgré tout, le gouvernement de Silvio Berlusconi a approuvé vendredi en Conseil des ministres un décret-loi qui légitime et légalise les « rondes » nocturnes de citoyens au nom de la protection des individus et des biens.
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