jeudi 11 octobre 2007

Parler des étrangers le temps d'un kebab

Lire l'article d'Anne Fournier dans le Temps
A midi, le vacarme est assourdissant. Les voitures transitent sur la Hardstrasse et sur la voie routière suspendue. Il y a quinze ans, l'entrée ouest de Zurich croupissait sous les reliques des industries frappées par la récession. Aujourd'hui, les grands noms se lisent encore au détour des rues: Sulzer, Toni. Pourtant dans cette extrémité du Kreis 5, ils n'attirent plus d'ouvriers. Ce sont surtout, la nuit, les amateurs de sorties en boîte et le jour des employés de bureau qui animent ces espaces revigorés.

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