Lire dans la Tribune de Genève
Le dossier sur l'asile n'est pas prêt d'être remisé au placard! Les 16 et 17 novembre prochains, le Grand Conseil devra se prononcer sur un projet de loi proposé par le Conseil d'Etat, à l'initiative de François Longchamp, pour remplir un vide juridique du droit genevois.
Il s'agit de réduire définitivement à une assistance en nature l'aide d'urgence donnée aux requérants déboutés sans bénéfice de l'aide sociale. «Comprenez par là un petit-déjeuner, un sandwich à midi et un plat unique à réchauffer au micro-ondes», explique Michel Bavarel, président à l'Agora, l'aumônerie des réfugiés. «Pas un sou, pas même la liberté d'aller faire ses courses ni celle de choisir ce qu'on mange. Même les prisonniers ont plus de liberté», insiste-t-il.
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