Pour l’historien de gauche Hans-Ulrich Jost, les votations sur l’asile et les étrangers ont fait ressortir une des constantes de la politique suisse : la xénophobie.
Dans une interview à swissinfo, le professeur honoraire de l’Université de Lausanne explique comment, selon lui, la tradition humanitaire du pays ne vaut que lorsqu’elle sert ses intérêts.
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