Tiré du 24 Heures, cette brève qui annonce qu'une grand-mère kosovare de Payerne obtient le droit de rester en Suisse:
Mejrem Gorkaj, une grand-maman originaire du Kosovo, a obtenu la permission de rester à Payerne, avec son fils et ses petits- enfants. Veuve depuis 1973, fuyant son pays en guerre, Mejrem Gorkaj vit dans le chef-lieu depuis octobre 1998, indique le Groupe de soutien aux migrants, qui se félicite de cette issue. Son fils, résidant en Suisse depuis 1991, est titulaire d’un permis B et bientôt d’un passeport suisse. Berne refusait d’accorder à la maman l’autorisation de rester en Suisse. Soutenu par le canton de Vaud, son dossier avait été présenté une première fois à en 2004, mais n’avait alors pas reçu de réponse favorable de l’Office fédéral des réfugiés.
Il a fallu deux ans de nouvelles démarches (pétition au Grand Conseil, nouveau dossier et audition au Service de la population) pour obtenir un permis. L’admission de Mejrem Gorkaj fait partie des 63 dossiers vaudois régularisés en début d’été, à l’issue d’une rencontre entre Christoph Blocher et le Conseil d’Etat ( 24 heures du 7 juillet). P. C .
Mejrem Gorkaj, une grand-maman originaire du Kosovo, a obtenu la permission de rester à Payerne, avec son fils et ses petits- enfants. Veuve depuis 1973, fuyant son pays en guerre, Mejrem Gorkaj vit dans le chef-lieu depuis octobre 1998, indique le Groupe de soutien aux migrants, qui se félicite de cette issue. Son fils, résidant en Suisse depuis 1991, est titulaire d’un permis B et bientôt d’un passeport suisse. Berne refusait d’accorder à la maman l’autorisation de rester en Suisse. Soutenu par le canton de Vaud, son dossier avait été présenté une première fois à en 2004, mais n’avait alors pas reçu de réponse favorable de l’Office fédéral des réfugiés.
Il a fallu deux ans de nouvelles démarches (pétition au Grand Conseil, nouveau dossier et audition au Service de la population) pour obtenir un permis. L’admission de Mejrem Gorkaj fait partie des 63 dossiers vaudois régularisés en début d’été, à l’issue d’une rencontre entre Christoph Blocher et le Conseil d’Etat ( 24 heures du 7 juillet). P. C .
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