Le pistolet à électrochocs ne pourra pas être utilisé lors du renvoi forcé d'étrangers. Le Conseil fédéral a renoncé à inscrire le "taser" dans la liste des appareils autorisés au vu de la levée de boucliers suscitée par cette arme controversée.
Les médecins ont tiré la sonnette d'alarme: les "tasers" qui projettent à plusieurs mètres des électrodes et font tomber les personnes visées "ne sont pas sans danger". Cinq cantons dont quatre romands, le PLS, le PS et les Verts et vingt organisations sont montées aux barricades durant la consultation au nom de la défense des droits l'homme.
Lire la dépêche de l'ATS
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