Dans la Tribune de Genève, Michel Pont commente ces événements vaudois avec une certaine distance. Il relève que les divergences au sein du gouvernement ne portent que sur l'emploi des mesures de contraintes. Les élus de gauche auraient préféré que la stratégie "douce" soit poursuivie plus longtemps.
Pierre-Yves Maillard note, pour sa part, que l'expression d'une divergence avec le bloc bourgeois ne signifie pas pour autant que la gauche pense qu'il existe «une solution simple à un problème qui ne l'est pas».
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