Le nombre de cas où un condamné étranger a pu être livré à son pays d'origine pour y purger le solde de sa peine contre son gré reste dérisoire. La procédure est complexe et trop d'Etats boudent un accord international récent.
Ce n'est pas la panacée, on le savait, mais ce n'est même pas le soulagement attendu. Du moins pas encore. L'UDC n'était pas la seule, à droite, à voir dans le «transfèrement» des détenus étrangers dans leur pays d'origine pour y purger le solde de leur peine un bon moyen pour réduire la forte part d'étrangers dans les prisons suisses (plus de 70% dans les établissements fermés).
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