En signant l'accord, le migrant s'engage à atteindre certains objectifs individuels, en particulier au niveau des connaissances linguistiques. La convention s'adresse aux personnes qui présentent de gros déficits en matière d'intégration et des problèmes sociaux, a expliqué le ministre zurichois de la justice, Markus Notter.
La nouvelle loi fédérale sur les étrangers donne la possibilité de conclure des conventions d'intégration, selon le conseiller d'Etat, qui a rejeté l'idée d'une "contrainte". Toutefois, Zurich veut se doter d'une loi cantonale sur l'intégration ou la migration, comme l'ont déjà fait les deux Bâles.
Depuis août dernier, la responsable zurichoise de l'intégration n'est autre que l'ancienne responsable bâloise de l'intégration, Julia Morais. Celle-ci a collaboré à l'élaboration du contrat d'intégration pour les deux Bâles, le modèle repris par Zurich. Le but visé est de lier l'octroi d'un titre de séjour à des exigences minimales, telles connaissances de la langue ou des usages locaux.
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