Vaut-il mieux savoir la langue du pays dans lequel on émigre, ou peut-on y travailler, et accomplir les démarches quotidiennes de base, en un mot s'intégrer, sans maîtriser le langage du pays hôte?
La question paraît absurde de prime abord. Elle fait pourtant débat entre partisans et opposants à l'introduction de cours de langues pour les immigrants. Une mesure étudiée dans le cadre de la révision de la loi sur les étrangers, acceptée par le peuple en 2006, et dont l'entrée en vigueur est agendée au 1er janvier 2008.
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