Ces derniers temps, nous avons appris par nos journaux que des familles intégrées chez nous depuis des années auraient été renvoyées du territoire suisse vers un avenir incertain. Et que d’autres craignent d‘être expulsées à tout moment vers leur pays d‘origine où la persécution les attend.
Depuis, je pense continuellement à toutes ces femmes, ces hommes et ces enfants dont le destin me tient à coeur. Et de jour en jour j‘espère trouver dans vos pages des informations sur ce qui leur arrive et comment ils réussissent à continuer à vivre dans ces conditions inhumaines. Mais chaque jour, je n’y trouve que le bulletin de santé d‘un chat blessé… La dureté de nos institutions envers nos semblables ne semble pas nous toucher autant que les souffrances d’un animal de compagnie, et tout cela m‘attriste profondément.
Maria Schönenberger
Lausanne
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