Lire l'édito de Marco Gregori dans le Courrier
Pendant cinq ans, il a été le centre de beaucoup d'attention. Il ne se passait pratiquement pas une semaine sans que son nom soit mentionné dans les médias, suisses ou internationaux. Mais aujourd'hui, Jean-François Bergier est déçu. Déçu de constater que l'immense travail réalisé par la Commission indépendante d'experts Suisse-Seconde Guerre mondiale qu'il a présidée ait sombré dans une sorte d'oubli de la part des politiques. Il le dit dans un livre-entretien rédigé par Bertrand Müller et Pietro Boschetti
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