Le Courrier revient sur la présence du Conseiller fédéral en terre vaudoise et parle de mutisme politique: "en pleine campagne pour les votations du 24 septembre sur les lois sur l'asile et les étrangers, dossier dont il a la charge, il n'en aura pas dit un traître mot". Il craint que "l'absence de campagne pour le «oui» ne fasse paraître les opposants plus forts qu'ils ne le sont en réalité". Pour Karl Grunberg, secrétaire général de SOS Racisme, "la machine à faire du oui, c'est la peur. Et pour la peur, il n'y a pas besoin de faire campagne. S'ils le faisaient, nous aurions la possibilité de débattre".
Lire l'article de Luc-Olivier Erard dans le Courrier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire