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Voilà l'une des constantes de cette population: que le nombre jamais n'encombre. Les Portugais entretiennent une part d'ombre, voire de mystère. A quoi cela tient-il? Aux origines rurales très modestes des premiers migrants, arrivés dans les années 80, qui ont imposé la retenue, la réserve? Sans doute. Mais il y a aussi cet amour du pays qui sans cesse lance ses appels au retour. Impression donc qu'ils sont de passage – de fait, ils sont peu à demander la nationalité suisse – même si cela peut durer vingt à trente années...
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Par Christian Lecomte
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