mercredi 14 juin 2006
Parution du numéro de juin de Vivre Ensemble
Le numéro "spécial lois Blocher" de Vivre Ensemble est sorti. Il comprend 27 pages d'informations et d'arguments pour voter 2xnon le 24 septembre. Des numéros supplémentaires peuvent être commandés à vivre.ensemble@asile.ch
Lire le numéro spécial
Pétition pour Mirsad Hodzic
Lire dans 24heures
«S’il ne peut avoir l’asile, personne ne le peut», martèle Bruno Clément de la Coordination Asile Vaud. Sur les marches du Palais de Rumine, il évoquait, hier, le sort de Mirsad Hodzic, de sa compagne, veuve de guerre et des deux enfants de celle-ci. La famille bosniaque, qui n’appartient pas au groupe dit «des 523», est arrivée en Suisse en avril 2002. Mirsad Hodzic a été fait prisonnier par les Serbes durant la guerre. Il en garde de graves séquelles psychiques. Une pétition a été déposée hier au Grand Conseil. Elle demande aux autorités cantonales de constater que «le renvoi de Mirsad Hodzic est raisonnablement inexigible», et à l’Office fédéral des Migrations, une admission provisoire. La pétition comporte une quinzaine de signatures de députés, en plus de celles de membres de la Coordination, et des parrains et marraines de la famille, le député vert André Chatelain ainsi que Janine Viret, veuve du juge cantonal Jacques Viret. Côté députés figurent aussi les paraphes des radicaux Jean-Claude Rochat, Serge Melly et Jean Martin, le PDC Georges Glatz et l’UDC Gabriel Poncet.
D’autres verts, popistes et socialistes ont apposé leur griffe.
«Cet homme a vécu tous les traumatismes, et son cas n’a jamais été examiné sur le fond», plaide André Chatelain. Suite à des revers administratifs, les recours et demandes de réexamen n’ont pas été considérés comme recevables. Selon sa psychologue, renvoyer Mirsad Hodzic, c’est le «condamner à une mort lente».
«S’il ne peut avoir l’asile, personne ne le peut», martèle Bruno Clément de la Coordination Asile Vaud. Sur les marches du Palais de Rumine, il évoquait, hier, le sort de Mirsad Hodzic, de sa compagne, veuve de guerre et des deux enfants de celle-ci. La famille bosniaque, qui n’appartient pas au groupe dit «des 523», est arrivée en Suisse en avril 2002. Mirsad Hodzic a été fait prisonnier par les Serbes durant la guerre. Il en garde de graves séquelles psychiques. Une pétition a été déposée hier au Grand Conseil. Elle demande aux autorités cantonales de constater que «le renvoi de Mirsad Hodzic est raisonnablement inexigible», et à l’Office fédéral des Migrations, une admission provisoire. La pétition comporte une quinzaine de signatures de députés, en plus de celles de membres de la Coordination, et des parrains et marraines de la famille, le député vert André Chatelain ainsi que Janine Viret, veuve du juge cantonal Jacques Viret. Côté députés figurent aussi les paraphes des radicaux Jean-Claude Rochat, Serge Melly et Jean Martin, le PDC Georges Glatz et l’UDC Gabriel Poncet.
D’autres verts, popistes et socialistes ont apposé leur griffe.
«Cet homme a vécu tous les traumatismes, et son cas n’a jamais été examiné sur le fond», plaide André Chatelain. Suite à des revers administratifs, les recours et demandes de réexamen n’ont pas été considérés comme recevables. Selon sa psychologue, renvoyer Mirsad Hodzic, c’est le «condamner à une mort lente».
Le vote des étrangers agite Zürich
Lire dans le Temps l'article d'Anne Fournier (payant)
L'exécutif veut déléguer l'octroi du droit de vote aux communes.
Extrait:
L'attribution du droit de vote et d'éligibilité aux étrangers au niveau communal fait des remous à Zurich. Et montre une fois de plus que ce sujet entraîne une scission nette entre Romands et Alémaniques. Récemment, le gouvernement a recommandé au parlement de soutenir une initiative qui laisse les communes décider de ce droit. Il reviendrait aux personnes qui vivent depuis au moins dix ans en Suisse et sont au bénéfice d'une autorisation de séjour. Soit quelque 200000 habitants du canton de Zurich.
L'exécutif veut déléguer l'octroi du droit de vote aux communes.
Extrait:
L'attribution du droit de vote et d'éligibilité aux étrangers au niveau communal fait des remous à Zurich. Et montre une fois de plus que ce sujet entraîne une scission nette entre Romands et Alémaniques. Récemment, le gouvernement a recommandé au parlement de soutenir une initiative qui laisse les communes décider de ce droit. Il reviendrait aux personnes qui vivent depuis au moins dix ans en Suisse et sont au bénéfice d'une autorisation de séjour. Soit quelque 200000 habitants du canton de Zurich.
Une ex-prisonnière tibétaine trouve refuge en Suisse
Lire l'article de Valérie de Graffenried dans le Temps :
Extrait:
Grande émotion parmi la communauté tibétaine. Phuntsog Nyidron, «nonne chantante» du Tibet, est arrivée mardi matin à l'aéroport de Zurich par le vol LX 053. Accueillie par les siens, la jeune femme de 36 ans compte rester longtemps en Suisse puisqu'elle y demande l'asile. Vu son parcours d'opposante politique et ses signes de persécution, son vœu risque d'être exaucé rapidement. Explications...
Avant d'arriver en Suisse, a déjà connu les premières pages des médias:
Annonce de la libération de la nonne chantante en 2004
Ce printemps elle visite les USA
Elle participera le 19 juin à un journée d'action pour le Tibet à Genève
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