lundi 1 septembre 2008

Nouvelle répression contre un Collectif de Sans-Papiers

01-09-2008 02:26
http://switzerland.indymedia.org/fr/2008/08/62765.shtml

NOUVEL APPEL À SOLIDARITÉ ET À MOBILISATION !

Tout en réaffirmant avec force que notre collectif n'entend pas pointer
du doigt les individus travaillant à la PAF mais les pratiques et
l'existence même de ce « corps constitué de l'Etat », nous craignons que
les formes de notre liberté d'expression et d'opinion contre les
politiques d'immigration française soient le principal objet des
poursuites du ministère de l'Intérieur.

mercredi 27 août 2008, source : http://rennes-info.org/

En juin 2008, nous, collectif de soutien aux personnes sans-papiers de
Rennes, avons appris par voie de presse qu'une plainte avait été déposée
contre nous par le Ministère de l'Intérieur suite à la diffusion de 3
tracts et de 2 affiches. Ces écrits accompagnaient deux rassemblements
contre la Police aux Frontières (PAF) le 2 avril 2008 [voir encadré pour
le contexte de cette mobilisation]. Une bonne dizaine d'arguments
utilisés et d'expressions employées ont été isolées pour nous accuser de
propos diffamants et injurieux à l'encontre de la PAF.

Durant l'enquête préliminaire de la police judiciaire, diligentée par le
Procureur de la République, 8 personnes ont été auditionnées, dont 3
seulement avaient effectivement participé aux rassemblements du 2 avril.
Plus grave : en dépit de nos exigences et de notre présentation
collective au commissariat, la police a refusé d'interroger la
cinquantaine de personnes qui avaient participé à ces rassemblements.
Elle a plutôt tenté de faire dénoncer quelques personnes parmi les
autres afin d'individualiser les poursuites.

En juin et juillet, suite à un premier appel à solidarité et à
mobilisation, le fond et la forme de cette enquête préliminaire avaient
suscité bien des réactions (individus, associations, avocat-e-s,
élu-e-s, syndicats, partis.). En particulier, les pressions policières
subies par la Maison Internationale de Rennes (MIR) - association
indépendante qui héberge nos assemblées générales hebdomadaires - pour
l'obliger à livrer les noms des « animateurs » du collectif avaient
beaucoup choqué. Le point d'orgue de ces réactions fut un rassemblement
de 500 personnes le 28 juin place de la mairie à Rennes pour défendre la
liberté d'expression et d'association.

Depuis fin juillet, nous savons que le Procureur de la République a
choisi de faire comparaître quelques membres de notre collectif le
vendredi 19 septembre 2008 devant le Tribunal correctionnel de Rennes.
Les personnes, choisies arbitrairement, sont poursuivies sur la base de
la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.

C'est pourquoi nous souhaitons lancer un nouvel appel à solidarité et à
mobilisation car nous pensons que, au-delà de la mise en cause du
collectif de soutien aux personnes sans-papiers de Rennes, c'est une
certaine forme de liberté d'expression et d'opinion qui est en jeu si
nous sommes condamné-e-s.

MANIFESTATION DE SOLIDARITÉ

SAMEDI 13 SEPTEMBRE A 15 HEURES, PLACE DE LA MAIRIE A RENNES

RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN AU TRIBUNAL CORRECTIONNEL

VENDREDI 19 SEPTEMBRE A 13 HEURES, DEVANT LA CITÉ JUDICIAIRE DE RENNES

Depuis sa naissance en 2002, le collectif de soutien aux personnes
sans-papiers de Rennes a été souvent sollicité par des personnes
étrangères dénonçant les pratiques de la Police aux Frontières (PAF), ce
service particulier de la police chargé de lutter contre l'immigration
dite irrégulière. Ainsi, à de multiples reprises, de manière médiatisée
ou non, notre collectif a jugé important de dénoncer les modes
d'arrestations d'étranger-e-s à domicile, les interpellations devant les
écoles des parents sans-papiers, le menottage systématique des
étranger-e-s interpellé-e-s, les arrestations d'étranger-e-s aux
guichets des préfectures ou devant les locaux associatifs, l'irruption
de policiers dans les procédures de mariages mixtes. Les tracts et les
affiches visés par la plainte dénonçaient à nouveau ces pratiques, comme
le font des centaines d'organisations et de collectifs sur tout le
territoire français.

Mais, plus récemment et de manière croissante, le collectif de soutien
aux personnes sans-papiers de Rennes a été sollicité par des personnes
étrangères, de nationalités diverses, se déclarant victimes de contrôles
d'identité fondés sur la couleur de peau ou sur la langue utilisée, en
particulier dans les gares ou le métro. Ces contrôles ont aussi été
rapportés par des témoins. Dans la quasi-totalité des cas, les personnes
contrôlées sont considérées - dans notre société - comme des personnes «
arabes » ou « noires ». Nous pensons notamment à 7 élèves d'un lycée
rennais revenant d'une sortie scolaire qui, le même jour en mars 2008,
ont subi ces contrôles que beaucoup nomment « au faciès ». Ces contrôles
d'élèves - qui ont débouché sur une interpellation et une tentative
préfectorale d'éloignement du territoire français - ont constitué une
goutte d'eau de trop dans l'océan des contrôles d'identité qui nous
semblent échapper à la logique d'un Etat de Droit. C'est pourquoi notre
collectif a décidé d'organiser, le 2 avril 2008, une nouvelle action de
dénonciation publique des pratiques de la PAF. Cette action a été
annoncée et rendue visible par les 3 tracts et les 2 affiches qui sont
visés par la plainte. Nous tenons à souligner que ces tracts et
affiches, conformément aux principes de fonctionnement de notre
collectif, ont été élaborés et validés collectivement en assemblée générale.

Le ton humoristique ou ironique et l'ambiguïté de certaines
formulations, relativement habituels dans l'histoire de notre collectif,
semblent être au cour des poursuites dont nous faisons l'objet. Tout en
réaffirmant avec force que notre collectif n'entend pas - comme toujours
depuis 2002 - pointer du doigt les individus travaillant à la PAF mais
les pratiques et l'existence même de ce « corps constitué de l'Etat »,
nous craignons que les formes de notre liberté d'expression et d'opinion
contre les politiques d'immigration française soient le principal objet
des poursuites du ministère de l'Intérieur. Et nous déplorons que ces
formes de liberté soient davantage combattues, par le pouvoir actuel,
que les effets de la « dérive sécuritaire » qui structure les pratiques
policières, à l'encontre notamment des personnes considérées comme
étrangères.

Collectif de soutien aux personnes sans-papiers de Rennes

Assemblée générale ouverte à toutes et tous chaque mardi à 18 hs 30 à la
MIR, 7 quai Chateaubriand

Après l'Italie, la France doit-elle payer une « dette » coloniale?


Est-ce un coup d’éclat entre deux démagogues ? Ou le geste de Silvio Berlusconi envers la Libye de Mouammar Kadhafi, de payer cinq milliards de dollars au titre de la « dette coloniale » italienne, servira-t-il de précédent pour d’autres revendications, voire transactions ? En clair, la France doit-elle, elle aussi, payer sa « dette » coloniale ? La suite

Situation tendue en Belgique autour de la situation des Sans-Papiers (revue de presse)

Incidents 127bis: Rothman Salazar maintenu au centre

Le jeune Equatorien de 19 ans Rothman Salazar qui a été arrêté par la police à la suite d'un contrôle d'identité et qui a refusé son rapatriement dimanche dernier, demeure au centre 127 bis de Steenokkerzeel, selon l'Union de défense des personnes sans papiers (UDEP) qui a organisé une manifestation ce dimanche devant le centre.

A la suite d'incidents qui ont éclaté dans la nuit de samedi à dimanche dont plusieurs incendies volontaires, plusieurs dizaines de résidents du centre fermé 127 bis ont été transférés vers d'autres centres, à Melsbroek, Bruges et Vottem. Les dégâts ont affecté deux ailes sur trois du bâtiment, rendues inutilisables.

La manifestation visant à réclamer la libération de Rothman Salazar qui vit en Belgique depuis six ans avec ses frères et soeurs ainsi que sa mère a été autorisée malgré les incidents de la nuit. Une cinquantaine de personnes se sont rassemblées dimanche après-midi devant le centre 127 bis. Le jeune Equatorien comparaîtra lundi devant la chambre du conseil. (belga/7sur7)

24/08/08 21h54




http://www.rtlinfo.be/rtl/news/article/162356/

Rothman Salazar reste au 127bis

dim 24 août

Des troubles ont éclaté cette nuit au centre fermé 127 bis de Steenokkerzeel. On nous annonçait d’abord qu’un demandeur d’asile avait été légèrement blessé avant que le parquet de Bruxelles ne démente l’information. Ce sont les dégâts matériels qui préoccupent les responsables du centre. Les dégâts ont affecté deux ailes sur les trois du bâtiment, rendues inutilisables, a-t-on appris auprès de l'Office des étrangers. Conséquence : plusieurs dizaines de demandeurs d'asile du centre ont été relogés à Melsbroek, Bruges et Vottem. Seule une trentaine de résidents sont encore présents à Steenokkerzeel ... dont Rothman Salazar, pour qui une manifestation s'est tenue aujourd'hui en face du centre.

Ils enflamment le bâtiment puis tentent de s’évader

Des demandeurs d'asile ont bouté le feu à une poubelle dans les toilettes, ainsi qu'aux matelas de six chambres. Un foyer a également été allumé dans la cour intérieure, selon l'Office des étrangers. Les flammes se sont propagées à travers ces deux ailes du bâtiment avant d’être éteintes. Après l'arrivée des policiers et des services d'incendie, le calme n'a pu être rétabli qu'à l'aube. Des tentatives d'évasion ont eu lieu, mais la police les a contenues, précise l'Office.

Une quarantaine de résidents ont déjà été entendus par la police, qui espère pouvoir identifier le ou les auteurs de l'incendie à partir des témoignages. La police était toujours présente sur les lieux dimanche en début d'après-midi.

Rothman maintenu à Steenokkerzeel

Le jeune Equatorien de 19 ans, Rothman Salazar, qui a été arrêté par la police à la suite d'un contrôle d'identité et qui a refusé son rapatriement dimanche dernier, demeure au centre 127 bis de Steenokkerzeel, selon l'Union de défense des personnes sans papiers (UDEP) qui a organisé une manifestation ce dimanche devant le centre.

La manifestation visant à réclamer la libération de Rothman Salazar qui vit en Belgique depuis six ans avec ses frères et sœurs ainsi que sa mère a été autorisée malgré les incidents de la nuit. Une cinquantaine de personnes se sont rassemblées dimanche après-midi devant le centre 127 bis. Tout s'y est déroulé dans le calme.

Le jeune Equatorien comparaîtra demain lundi devant la chambre du conseil.




http://www.levif.be/belga/generale/78-6-62860/centre-127-bis--deux-ailes-sur-trois-inutilisables.html

Centre 127 bis: deux ailes sur trois inutilisables

24/08/2008 14:29

Les dégâts causés au centre fermé 127 bis, dans la nuit de samedi à dimanche, ont affecté deux ailes sur trois du bâtiment, rendues inutilisables.

Des demandeurs d'asile ont bouté le feu à une poubelle dans les toilettes, ainsi qu'aux matelas de six chambres. Un foyer a également été allumé dans la cour intérieure, selon l'Office des étrangers. Après l'arrivée des policiers et des services d'incendie, le calme n'a pu être rétabli qu'à l'aube. Des tentatives d'évasion ont eu lieu, mais la police les a contenues, précise l'Office. Plusieurs dizaines de demandeurs d'asile du centre ont été relogés à Melsbroek, Bruges et Vottem. Seule une trentaine de résidents sont encore présents à Steenokkerzeel. Aucune personne n'a été blessée dans les incendies. Une quarantaine de résidents ont déjà été entendus par la police, qui espère pouvoir identifier le ou les auteurs de l'incendie à partir des témoignages. (NLE)




Immigration: Leterme à la manoeuvre

27/08/2008 17:39

Le Premier ministre Yves Leterme reprend la main dans l'organisation des travaux dans le dossier immigration, a-t-on appris mercredi à l'issue d'un Conseil des ministres restreint. Le but est d'arriver à un accord à propos de la régularisation des sans-papiers.

L'objectif est de déboucher sur un "cadre politique" à traduire ensuite en textes techniques. La négociation sera globale, intégrant les dossiers de régularisation, humanitaire et économique, l'ancrage local, mais aussi la question des mariages blancs, le regroupement familial, etc... Une première réunion aura lieu mardi. Participeront aux travaux, outre le Premier ministre Yves Leterme, la ministre de la Politique de Migration et d'Asile, Annemie Turtelboom, la ministre de l'Intégration sociale, Marie Arena, le ministre de la Justice, Jo Vandeurzen, la ministre de l'Emploi, Joëlle Milquet, ainsi que les autres vice-premiers ministres. (NLE)







http://www.rtlinfo.be/rtl/news/article/163413/--Une+institution+pour+demandeurs+dasile+agit%C3%A9s

Une institution pour demandeurs d'asile 'agités'

Mercredi 27 août 2008

Après les protestations mardi sur la situation dans les différents centres fermés, la ministre de l'Asile et de l'Immigration Annemie Turtelboom (Open vld) projette la création d'une nouvelle institution spécifique pour les demandeurs d'asile avec des problèmes comportementaux.

L'objectif d'une telle institution est de séparer les fauteurs de troubles des autres demandeurs d'asile. Avec ce projets, Annemie Turtelboom répond clairement aux exigences du personnel des centres fermés qui demandaient d'urgence des mesures structurelles. La proposition était déjà arrivée une première fois sur la table lors des discussions concernant le budget en juin, mais elle avait alors été discrètement mise de côté.

Entre-temps, la construction de ce centre fait désormais clairement partie des possibilités, a indiqué la ministre Turtelboom. Les plans sont devenus plus concrets et l'on recherche maintenant comment la construction d'un tel projet pourrait être financée.

Il n'y a provisoirement pas encore d'échéance. Turtelboom, qui a déjà repéré un lieu possible pour l'institution, voit deux options pour ce centre spécifique: "Ce sera un nouveau centre ou bien ce sera une extension d'un centre existant. Mais il est clair que de toute façon, une institution comme celle-ci s'avère nécessaire de toute urgence".

Milquet: "Il faut régler le dossier de l'immigration avant le 14 octobre"

Invitée de Bel RTL ce mercredi matin, Joëlle Milquet s'est également exprimée sur le dossier de la régularisation des étrangers en situation illégale en Belgique. Selon la présidente du cdH, il doit être réglé avant le 14 octobre, date de la déclaration de politique générale à la Chambre. Les vacances sont passées, les esprits sont apaisés et, selon elle, il doit être possible de trouver un accord.

Le problème est en souffrance depuis quelques mois et n'a pu être résolu avant les vacances. Régulièrement, en juillet et en août, le sort des sans-papiers a fait régulièrement la une de l'actualité. Aux yeux de Milquet, il est temps maintenant de respecter l'accord de gouvernement qui prévoit qu'une circulaire doit régler la question sur la base de critères clairement exprimés.

REGARDEZ L'INTERVIEW DE JOELLE MILQUET

"Nous avons tout fait pour avoir un accord mais ça n'a pas été possible parce qu'il n'y a pas eu la volonté de conclure chez certains partenaires. Il faut maintenant que l'on boucle ce dossier avant la déclaration gouvernementale du 14 octobre. Il y a un accord à respecter et il y a des urgences humanitaires", a-t-elle souligné.

Selon elle, un accord est possible. "On n'est pas loin, c'est une question de bonne volonté", a-t-elle ajouté.

Quant à la volonté exprimée par la ministre de l'Asile, Annemie Turtelboom (Open Vld), de revoir les accords passés avec les pays du Maghreb sur le regroupement familial, Mme Milquet fait remarquer qu'il n'y a pas une ligne sur ce point dans l'accord de gouvernement. Elle appelle donc à un accord global sur ces questions.

"Tous ces dossiers doivent faire partie d'un accord global. Que l'on soit plus sévère, c'est mis dans l'accord de gouvernement mais venir à chaque fois avec des conditions complémentaires, je ne crois pas que c'est comme ça que l'on améliorera le climat", a-t-elle expliqué.








http://www.7sur7.be/7s7/fr/1861/Crise-politique/article/detail/395969/2008/08/27/Il-faut-regler-le-dossier-des-sans-papiers-avant-le-14-octobre.dhtml

Il faut régler le dossier des sans-papiers avant le 14 octobre

Le dossier de la régularisation des étrangers en situation illégale en Belgique doit être réglé avant le 14 octobre, date de la déclaration de politique générale à la Chambre, demande la vice-première ministre et ministre de l'Emploi, Joëlle Milquet (cdH). Les vacances sont passées, les esprits sont apaisés et, selon elle, il doit être possible de trouver un accord.

Le problème est en souffrance depuis quelques mois et n'a pu être résolu avant les vacances. Régulièrement, en juillet et en août, le sort des sans-papiers a fait régulièrement la une de l'actualité. Aux yeux de Mme Milquet, il est temps maintenant de respecter l'accord de gouvernement qui prévoit qu'une circulaire doit régler la question sur la base de critères clairement exprimés.

Bonne volonté

"Nous avons tout fait pour avoir un accord mais ça n'a pas été possible parce qu'il n'y a pas eu la volonté de conclure chez certains partenaires. Il faut maintenant que l'on boucle ce dossier avant la déclaration gouvernementale du 14 octobre. Il y a un accord à respecter et il y a des urgences humanitaires", a-t-elle souligné interrogée sur Bel-RTL.

Selon elle, un accord est possible. "On n'est pas loin, c'est une question de bonne volonté", a-t-elle ajouté. Quant à la volonté exprimée par la ministre de l'Asile, Annemie Turtelboom (Open Vld), de revoir les accords passés avec les pays du Maghreb sur le regroupement familial, Mme Milquet fait remarquer qu'il n'y a pas une ligne sur ce point dans l'accord de gouvernement. Elle appelle donc à un accord global sur ces questions.

"Tous ces dossiers doivent faire partie d'un accord global. Que l'on soit plus sévère, c'est mis dans l'accord de gouvernement mais venir à chaque fois avec des conditions complémentaires, je ne crois pas que c'est comme ça que l'on améliorera le climat", a-t-elle expliqué.

Economie

La ministre, également présidente du cdH, plaide aussi pour l'élaboration d'un plan ambitieux de développement économique et social, qui veillera à la fois à répondre à la baisse du pouvoir d'achat et à stimuler la compétitivité des entreprises, notamment par le biais d'une diminution des charges sur les bas salaires. Il s'agit là des "vrais problèmes des gens", a-t-elle répété.

Elle ne se montre d'ailleurs guère impressionnée par les orages communautaires annoncés lors des réunions de la N-VA le 21 septembre et du CD&V le 27. "Nous commençons à être habitués dans ce pays à vivre avec des épées de Damoclès. Si on devait à chaque fois être suspendu aux décisions de la N-VA et attendre les bras croisés, ce serait dramatique pour la gestion du pays", a-t-elle fait remarquer.

27/08/08 09h53



http://www.levif.be/belga/generale/78-6-63876/sans-papiers--500-personnes-manifestent-a-puurs.html

Sans-papiers: 500 personnes manifestent à Puurs

31/08/2008 19:08

Quelque 500 manifestants de plusieurs associations belges se sont donnés rendez-vous dimanche après-midi lors d'une action de solidarité envers les sans-papiers à Puurs, la commune de la ministre la politique de Migration et d'Asile, Annemie Turtelboom.

L'action que les organisateurs qualifient de "succès", a été organisée au Fort de Breendonk. L'action a réuni des associations flamande, bruxelloise et wallonne. Les manifestants mènent une action car le désespoir des sans-papiers ne cesse d'augmenter chaque jour, alors que la ministre avait promis une circulaire d'ici mai ou juin sur la question et que rien n'a été fait, selon eux. (GFR)


Présentation de la semaine pour les migrants