Je suis retourné au département médias de l’université d’Athènes pour que Nikos me présente à des amis, des Sénégalais arrivés clandestinement en Grèce. “Certains viennent pour les cours de grec du soir, d’autres simplement pour discuter”, m’explique-t-il. Parmi eux, Omar, 28 ans, arrivé il y un an et demi. Au physique aussi imposant que sa voix est douce, Omar précise immédiatement que la Grèce, pour lui, n’est qu’une étape. “Je n’ai jamais voulu rester ici”, explique-t-il. “Les gens viennent parce que c’est la porte d’entrée à l’Europe. Mais ils cherchent à atteindre la France ou la Belgique”.
Lire la suite de cet article signé Luc Vinogradoff sur son blog du Monde
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