Trois élèves non francophones maximum par classe. Hugues Hiltpold, conseiller national radical, s'appuie sur cet exemple pour proposer de fixer un quota dans les classes. «En réduisant le nombre d'élèves qui ne parlent pas ou peu le français dans les classes, on augmentera leur facteur d'intégration. L'objectif est de donner une égalité des chances à tout le monde», explique le politicien genevois. C'est sa façon de défendre l'école publique républicaine.
Actuellement, à Genève comme dans le canton de Vaud, les élèves non francophones intègrent une classe d'accueil dès leur arrivée. Par la suite, ils rejoignent le cursus scolaire normal et continuent de bénéficier de cours de français intensifs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire