En blanchissant fin avril l'affiche de l'UDC qui stigmatisait l'islam, le Tribunal fédéral a rendu un jugement qui met une fois encore en lumière une vérité qui peine à s'imposer: la justice se montre beaucoup moins sévère avec les actes ou propos présumés racistes que ne l'imagine l'inconscient collectif. L'autocensure ou le politiquement correct coupent l'herbe sous le pied de la loi. Ce qui n'empêche pas la multiplication des plaintes pour discrimination raciale ou incitation à la haine raciale.
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